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  • IMPRÉVUES | Collectif bim

    s p r a è IMPRÉVUES juillet 2025 Ville d’Orsay et MJC C.S Jacques Tati (Essonne) / projet de série photographique exposée dans la ville - Orsay / 3 bimeuses et 10 participantes © Manon Klein © Naïla Nkhili © Naïla Nkhili © Ville d'Orsay © Ville d'Orsay © Ville d'Orsay © Ville d'Orsay © Collectif bim © Manon Klein © Naïla Nkhili © Naïla Nkhili © Ville d'Orsay © Ville d'Orsay © Ville d'Orsay © Ville d'Orsay © Collectif bim © Manon Klein © Naïla Nkhili © Naïla Nkhili © Ville d'Orsay © Ville d'Orsay © Ville d'Orsay © Ville d'Orsay © Collectif bim © Manon Klein © Naïla Nkhili © Naïla Nkhili © Ville d'Orsay © Ville d'Orsay © Ville d'Orsay © Ville d'Orsay © Collectif bim 3 bimeuses ont mené deux jours d’ateliers avec 10 adolescentes orcéennes dans leur ville. À partir de cette question : Qu’est-ce que je n’ose pas faire dans la rue ? elles ont occupé les rues, les places et les parcs et se sont prises en photo en réinventant leur place et les usages de la ville et de son mobilier. Pendant l’été 2025, plusieurs photos ont été exposées sur les panneaux de la Ville. Deux autres expositions sont prévues au cours de la saison 25-26. Ce projet est la première phase d’un partenariat avec la ville d’Orsay où le Collectif bim est en résidence pendant plusieurs mois et qui se clôturera par des représentations du projet participatif Vues ! le 11 avril 2026. Le projet imprévues est soutenu dans le cadre du dispositif «été culturel» de la DRAC. t v a a n

  • / poz / | Collectif bim

    s p r a è / poz / juillet 2023 Maison d’arrêt des Hommes de Fleury-Mérogis / Centre scolaire - Fleury-Mérogis / 2 bimeuses, 1 photographe et 11 personnes détenues © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora De retour au Centre Scolaire de la Maison d’Arrêt des Hommes de Fleury-Mérogis (91), deux membres du Collectif bim ont mené /poz/ en collaboration avec la photographe Magali Stora. Le projet s’est déroulé en deux temps : / Dans un premier temps, nous avons proposé en juillet 2023 deux semaines d’ateliers bim avec onze participants détenus. Ensemble, nous avons joué, dansé, discuté… puis écrit et développé une performance bim, présentée le dernier jour à un public d’une quinzaine de personnes (hommes détenus, personnel pénitentiaire et administratif, camarades de bim). En parallèle de cette création vivante, nous composions des tableaux bim dans l’espace, tantôt individuels tantôt collectifs, tous orchestrés et immortalisés par la photographe Magali Stora. // Au mois de septembre suivant, nous sommes revenues toutes les trois le temps d’une journée, avec une sélection de 15 tirages photo que nous avons accrochés illico dans le même espace du Centre Scolaire. Lors du vernissage de l’exposition, les participants ont pu (re)découvrir leurs propositions devenues concrètes en grand format, et partager leur expérience avec un public (re)venu exprès pour l’occasion. L’exposition /poz/ restera en place un mois environ, avant de - peut-être - migrer non loin. Pour chaque photographie individuelle présentée dans l’exposition et sur ce site, les participants ont légendé comme suit : nom ou pseudo / un verbe (en lien ou non avec le sujet de la photographie) / dédicace éventuelle. Les photographies collectives ont été légendées par nos soins (bim et/ou Magali Stora). Un livret de photographies sera bientôt édité, comprenant les quinze photographies de l’exposition mais aussi bien d’autres n’ayant pas pu faire l’objet de tirages. Chaque participant pourra ainsi garder un souvenir concret du projet. t v a a n

  • PORTES OUVERTES SUR LA VILLE / Les tanneries | Collectif bim

    s p r a è PORTES OUVERTES SUR LA VILLE / Les tanneries septembre 2021 Festival Temps Fort - Quelques p'Arts - CNAREP Auvergne-Rhône-Alpes / Quartier de la Cance - Annonay / 9 bimeur.euse.s © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora © Magali Stora Au son de notre trousseau de clefs, descendons de la ville en longeant le courant de la rivière, la Cance, dans laquelle sont endormis quelques vieilles âmes. A mesure que l’eau ruisselle entre les corps et les rochers, le regard s’enfonce entre les murs abrupts des anciennes tanneries. Au loin, une passerelle fend le paysage à l’horizontal d’où retentit la sonnerie. Il est temps pour les fantômes de s’animer, descendant le lit de leur rivière pour aller s’habiller et invitant les spectateurs à se rapprocher d’un peu plus prêt. Une fois sur la passerelle, comme suspendu dans les airs, on pourrait croire que les usines ont bel et bien été délaissées. Derrière les briques, on devine la poussière accumulée sur les machines. Au dehors, les fenêtres sont sans vitres et pour seule habitante, la végétation à repris ses droits. Mais petit à petit, à notre gauche, les esprits de se passé industriel ressurgissent en chemises blanches, sous la haute surveillance d'une ombre en fourrure à notre droite. Entre une cigarette et une tasse de thé, l'ombre fait pleuvoir les bleus de travail en contrebas, là où les ouvriers n'ont d'autres choix que de répéter inlassablement les mêmes gestes. Lorsqu’aux sourires narquois s'ajoutent d'autres seaux de labeur, une mutinerie éclate. Les lanceurs de pierres prennent rapidement la fuite laissant pour unique souvenir, leurs vestes bleues dans l'eau paisible. Les tanneries retrouvent alors le calme de l’abandon, et nous leur tournons le dos, poursuivant la déambulation. Un peu plus loin, un portail électrique ! De l'extérieur, ce n'est qu'une autre vieille fabrique mais quand celui-ci s’ouvre, nous sommes appelés par petit groupe à nous engouffrer dans la pénombre. Nous traversons un garage inquiétant. Derrière nous, le portail se referme. Nous empruntons un escalier étroit pour déboucher avec surprise au beau milieu d'une caverne aux trésors... Semblable à un musée du quotidien, les stocks de la mairie s'entasse selon les célébrations et les saisons : Les piles de chaises juxtaposent les panneaux de signalisations, eux même accoudés aux urnes électorales et aux drapeaux tricolores qui font de l'oeil aux décorations pailletées de Noël... Dans ce bric-à-brac labyrinthique et festif, heureusement que les bimeur.euse.s nous indique le chemin ! Et nous ressortons de l'autre côté, sur un parvis grillagé rappelant les quais de chargement de cette ancienne manufacture de chaussures. Mais la porte du hangar s’est claquée, et chacun cherche, par tous les moyens, à rentrer : escaladant la façade, plongeant dans les serrures ou remontant par les gouttières. Avons-nous égaré toutes nos clefs? Lorsqu'enfin, celle-ci se rouvre, le travail peut reprendre. Entre frénésie et imaginaire, c’est une chaîne de chaises et d'objets en tout genre qui s’actionne. Mais derrière nos grilles, la ville d'Annonay nous surplombe. Les chaises et les bimeur.euse.s s'envolent au-dessus des barrières pour observer le présent et profiter de la vie qui nous entoure. Successivement, dans une ronde des spectateurs, nous devons quitter quelques instants la folie de ce parvis pour grimper au dernier étage et pousser une ultime porte. Tout là haut, les profondeurs de la Cance où gisent les vestes bleues nous paraissent un lointain souvenir, bien que ce perchoir semble tout aussi déserté. Des cartons éventrés côtoient des bidons rouillés. De vieux bureaux d'école sont entreposés (depuis quand?). Mais un rire résonne. Et dans les grains de poussière, il nous est donné d'épier la danse secrète de deux amants joueurs. La poésie de cette bulle de rêve n'est que de courte durée. La sonnerie retentit, et à l'image des « trois-huit », notre petit groupe redescend pour laisser la prochaine équipe pointer à l'étage. La besogne se termine pour la journée, et tout le monde est prié de sortir. Lorsque la grande grille se referme sur les usines, quelques doigts évitent de justesse l’accident. La grille claque une dernière fois et les portes se verrouillent définitivement sur le quartier de la Cance. Dehors, ne reste que notre guide de départ ayant perdu son fameux trousseau et nos souvenirs d'un voyage à travers les briques rouges et les années. Il se dit que les murs ont des oreilles ; à Annonay, les murs, les fenêtres et les portes ont aussi des mains, des yeux et des voix ! t v a a n

  • LES EXPÉDITIONS RENVERSANTES | Collectif bim

    s p r a è LES EXPÉDITIONS RENVERSANTES juin à décembre 2018 ONG Bleu Versant - Plan Rhône - Culture du risque inondation / place Jacques Brel - Port-Saint-Louis, place des Corps Saints - Avignon, cours Aristide Briand - Caderousse, place des Vieux Moulins - Yenne et place Gianetto - Chanaz / 7 bimeur.euse.s accompagné.e.s des membres de l’ONG Bleu Versant © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud © Nicolas Riffaud Dans le cadre de l’appel à projets Culture du risque inondation du Plan Rhône, le Collectif bim et l'ONG Bleu Versant s’associent pour concevoir des interventions itinérantes de l’aval à l’amont des bassins versants du Rhône et de la Saône. Après un premier temps de résidence en novembre 2017 au POLAU - pôle arts & urbanisme, le Collectif bim a accompagné l’ONG Bleu Versant sur 5 Expéditions RenVersantes le long du Rhône. En suivant le mystérieux "Petit Géant Bleu", les bimeur.euse.s et les membres de l’ONG se sont transformé.e.s en acupuncteur.ice.s territoriaux, pour analyser et révéler le caractère submersible des territoires parcourus. À travers une exposition et des performances, nous avons cherché à rencontrer et sensibiliser les habitant.e.s, voisin.e.s du fleuve, aux enjeux du risque dans les zones inondables en mêlant dramaturgie, sciences et questions territoriales. Pour la première étape, nous nous sommes arrêté.e.s à Port-Saint-Louis-Du-Rhône, où le fleuve se jette directement dans la mer. Sur place, les bimeur.euse.s cherchent tous les endroits où s’abriter pour échapper à la pluie, tendent des rubalises bleus qui symbolisent le niveau atteint par l’eau en cas de crue, se perchent dans les arbres pour éviter de se mouiller, traversent des rues inondées en portant leurs effets personnels à bout de bras, et finissent, fascinés face au Rhône, par se laisser submerger ! Pour la seconde étape, nous nous sommes arrêté.e.s à Avignon, où le centre-ville est protégé de la montée des eaux par des fortifications. Là-bas, Les bimeur.euse.s accueillent le public mouillé.e.s des pieds à la tête, plongent sous des rubalises bleus qui symbolisent le niveau atteint par l’eau en cas de crue, font une chaîne de seaux d’eau, d’une laverie jusqu’à un banc qui devient un radeau, s’abritent dans un camion et finissent par se faire emporter par l’inondation au bout d’une ruelle ! Pour la troisième étape, nous nous sommes arrêté.e.s à Caderousse, où le centre-ville est bordé de remparts en pierres. Ici, les bimeur.euse.s se perchent sur des voitures pour tenter de rester au sec, profitent du soleil pour bronzer, se laissent surprendre par l’eau qui monte, hèlent, des quatre coins de la place, les bateaux au loin, nagent sur les barrières, écopent l’eau d’un restaurant et en profitent pour arroser le Petit Géant Bleu, et se laissent finalement renverser par une vague au bout d’une rue ! Pour la quatrième étape, nous nous sommes arrêté.e.s à Yenne, où la montagne et sa Dent du Chat regardent le Rhône de haut. Les bimeur.euse.s font des ricochets sur le boulodrome, rament et pagaient sur des bancs, se lancent au secours de bimeur.euse.s perché.e.s, équipé.e.s de gilets de sauvetage rouges, naviguent sur un bateau pirate, nagent le crawl avant de se noyer, s’abritent sous leurs blouses blanches, avant de se laisser submerger par la vague face à la montagne ! Enfin, pour la cinquième et dernière étape, nous nous sommes arrêté.e.s à Chanaz, où le marché de Noël diffuse ses odeurs de vin chaud. Les bimeur.euse.s tissent un réseau de rubans bleus sur la place, s’agrippent tant bien que mal aux lampadaires, escaladent les poubelles ou les bancs pour échapper à la montée des eaux, quittent leurs blouses pour rester au sec, remontent le canal en aviron, avant de partir en bateau à moteur se percher sur un pont pour saluer les spectateurs ! Au revoir le Petit Géant Bleu ! t v a a n

  • DANS LE SQUARE D'AMIENS | Collectif bim

    s p r a è DANS LE SQUARE D'AMIENS juin 2015 Festival Et 20 l'été / Square d'Amiens - Paris / 8 bimeur.euse.s © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard Pour notre seconde participation au Festival Et 20 l’été, le collectif a investi durant cinq jours le square d’Amiens, un cœur d’îlot de verdure doucereux en bordure du XXème arrondissement de Paris. Au milieu d’hauts logements HBM tous de briques vêtus, nous avons expérimentés les rythmes et les aléas d’une cour d’immeubles semi-publique. Tous les soirs, un atelier ouvert nous a permis de constituer peu à peu un groupe de jeunes habitants qui nous a accompagné dans cette lecture truculente des usages quotidiens, jusqu’à l’écriture de deux performances collectives en public. Quelles scènes se jouent sous les rebords des fenêtres ? Quels (en)jeux derrières les grilles à digicodes ? Que dessinent les interstices végétaux qui craquèlent le bitume ? Quand la lumière et le souffle s’y prêtent, de la pelouse aux airs interdits peuvent naître des prairies insoupçonnées. Il ne tient qu’à nous de les apercevoir. t v a a n

  • LE BAGNE DE SAINT-LAURENT-DU-MARONI | Collectif bim

    s p r a è LE BAGNE DE SAINT-LAURENT-DU-MARONI octobre 2015 Ouverture de saison du Centre Dramatique Kokolampoe - Cie KS and CO / Camp de la Transportation - Saint-Laurent-du-Maroni / 6 bimeur.euse.s et les élèves du TEK - Théâtre-École Kokolampoe © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar bagne12.jpg © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar bagne12.jpg © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar © Ronan Liétar bagne12.jpg Invités en Guyane française par le théâtre-école Kokolampoe (TEK) et la compagnie KS and co, nous avons collaboré une semaine durant avec les élèves de l'école. Il était important pour nous d'inscrire ce travail dans le partage d'expériences et d'histoires. Tous ensemble, nous avons investi la partie réclusion du bagne de Saint-Laurent-du-Maroni. Un lieu d'une grande force architecturale mais surtout d'une charge historique sans précédent pour nous. Comment retranscrire la puissance de ce lieu qui n'est traversé aujourd'hui que par le protocole des visites touristiques ? Historique et narrative, la performance amenait progressivement le lieu vers plus de contemporanéité et de contemplation, par une poétique des ruines, un hommage aux énergies persistantes et à l'apaisement d'un espace où l'herbe est restée verte. La nuit aidant, les contours des bimeurs se faisaient plus flous, plaçant enfin le spectateur dans une sorte de rêve éveillé. Qui étaient ces bagnards ? Sur quelles réalités lointaines repose la gloire des conquêtes ? Peut-on transformer l'horreur en poésie sans renier la Mémoire ? t v a a n

  • COLLÈGE WOLF ET PARC WAGNER | Collectif bim

    s p r a è COLLÈGE WOLF ET PARC WAGNER mai 2016 Résidence - Ville de Mulhouse et aide Écrire pour la Rue / Collège Wolf et Parc Wagner - Mulhouse / 8 bimeur.euse.s © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli © Louka Petit-Taborelli Ce bim à Mulhouse est la résultante d’un travail de résidence sur le thème du “participatif”. Cette semaine de travail fait partie de notre projet de recherche en partenariat avec la ville de Mulhouse et soutenu par l’aide “Écrire pour la Rue 2016” (SACD et DGCA). "Qui accueille qui ? Et comment ?" Telle est notre problématique durant cette semaine où nous intervenons sur deux fronts : tout d’abord au sein de la cour de récréation de la classe de 4ème du Collège Wolf et ensuite avec un groupe “aléatoire” d'usagers du parc Wagner à côté du collège. L’enjeu étant de créer une seule performance débutant dans la cour de récréation et se terminant dans le parc Wagner : un grand îlot vert de jeu et de détente au coeur d’une cité HLM et d’un écoquartier récent. t v a a n

  • AU PANTHÉON | Collectif bim

    s p r a è AU PANTHÉON juillet 2018 Inauguration de fin de chantier - les MonumentalEs et le Collectif Etc / place du Panthéon - Paris / 10 bimeur.euse.s et 10 membres du Collectif Etc © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel © Lucas Bonnel Nous sommes invités par les MonumentalEs et le Collectif Etc pour inaugurer la fin de leur chantier sur les quatre places qui entourent le Panthéon. La semaine de répétition est intense, il fait 28 degrés le matin et parfois 37 l’après-midi. Les cerveaux fusent et les corps se liquéfient. Nous commençons par une superbe visite guidée du Panthéon, ensuite, nous rencontrons Éloïse de Genre et Ville qui nous parle de leurs observations dans ces espaces et Léo d’Etc qui nous fait visiter leur aménagement. Les lieux nous inspirent beaucoup, tout autant que les mobiliers urbains d’Etc qui viennent chambouler les anciennes places de parking en un espace de vie, de convivialité ou de repos. Le parcours du bim est ambitieux : amener le public à traverser les 4 places en faisant un tour complet du Panthéon. Mais au-dessus de nos têtes, de son regard bienveillant, Simone Weil nous donne du courage. Mercredi soir, nous nous réunissons avec Etc pour une table ronde autour d’une grande table rectangulaire tout juste vernie, pour échanger sur nos travaux respectifs en présence de Julie Desprairies. Jeudi soir, après avoir cuit sur le bitume, nous sommes prêts, demain le public sera là. Vendredi,17 h, la place est encerclée de véhicules de Police à cause d’un rassemblement place de la Contrescarpe, on peut jouer, mais ils ne partiront pas. 18h30, une grosse averse vient de tomber. Nous avons peur que le public ne vienne pas. Mais si, le public vient équipé de parapluie, nous allons jouer! Nous profitons d’un moment d’accalmie pour nous mettre en place et c’est parti! Dès la première image les gouttes reviennent. C’est sera un bim liquide, il n’y a pas de doute. Nous sommes tous trempés et se réveille en nous une sauvagerie bimesque. Ce sont les personnes du public qui biment avec nous maintenant. Nous les encourageons à nous suivre pour vaincre la tempête, nous terminons sur un radeau de la méduse partagé avec Etc, agrémenté d’énormes grêlons. Nous nous arrêterons là pour aujourd’hui. Nous finissons abrités sous la mairie, pleins d’émotion. Le public applaudissant bim et bim le public. t v a a n

  • LES DEUX COURS DU LYCÉE ANNA JUDIC | Collectif bim

    s p r a è LES DEUX COURS DU LYCÉE ANNA JUDIC septembre 2014 Festival Rabotage / Lycée Anna Judic - Semur-en-Auxois / 8 bimeur.euse.s © Claire Mathé © Claire Mathé © Julie Reilles © Maïté Laureau © Claire Mathé © Julie Reilles © Julie Reilles © Claire Mathé © Maïté Laureau © Julie Reilles © Maïté Laureau © Maïté Laureau © Julie Reilles © Julie Reilles © Claire Mathé © Claire Mathé © Julie Reilles © Maïté Laureau © Claire Mathé © Julie Reilles © Julie Reilles © Claire Mathé © Maïté Laureau © Julie Reilles © Maïté Laureau © Maïté Laureau © Julie Reilles © Julie Reilles © Claire Mathé © Claire Mathé © Julie Reilles © Maïté Laureau © Claire Mathé © Julie Reilles © Julie Reilles © Claire Mathé © Maïté Laureau © Julie Reilles © Maïté Laureau © Maïté Laureau © Julie Reilles © Julie Reilles Invité par le festival Rabotage, le Collectif bim est intervenu auprès des élèves de l’option Théâtre du lycée Anna Judic. Un ancien cloître, une cour de récréation abandonnée et celle encore en activité du lycée professionnel. Trois lieux explorés en 360° dans une intervention commune avec les lycéens. Comment redécouvre-t-on un lieu que l’on côtoie tellement que l’on finit par ne plus le regarder ? t v a a n

  • VILLIERS-LE-BIM / Le square des Clématites | Collectif bim

    s p r a è VILLIERS-LE-BIM / Le square des Clématites septembre-octobre 2017 Projet participatif et expo photo in situ - Ville de Villiers-le-Bel / square des Clématites - Villiers-le-Bel / 6 bimeur.euse.s et la participation des élèves de CM1-CM2 de l’école de la Cerisaie et de 5e du collège Martin Luther King © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard © Pauline Bayard Invités par la ville de Villiers-le-Bel, bim se pose à la Cerisaie. On observe, attentifs, le nouveau square, son terrain de jeux pour enfants, les grandes marches et les plus petites, les tables de pique-nique ou de ping-pong, le "city stade" et puis les passages : les traversées des habitants, les courses-poursuites des petits qui s’amusent et ceux du couloir aérien qui rythment la vie du square. À l’ombre de la grande barre d’immeubles des Bleuets, qui nous observe elle aussi - l’air de rien - du haut de ses fenêtres, les ateliers commencent avec les élèves de l’école de la Cerisaie et du collège Martin Luther King. On se présente, on se rencontre, on échauffe ses articulations et on part ensemble à l’aventure pour deux semaines d’imaginaire, de perspectives et de précision des corps. Au tout début, on entend retentir au loin la sonnerie de l’école… ça y est, « C’est le week-end !», le jeu peut commencer ! On attrape un avion qui passe dans le ciel et tout à coup le sol penche, on dégringole… on embarque ! Et on s’envole vers Ailleurs … mais en musique s’il vous plait ! les marches deviennent piano, les fauteuils xylophones, et les petits loups se rassemblent en meute pour mieux réinventer le lieu et le transformer en cinéma de plein air ! Pop-corn à gogo, on rit de concert devant l’écran géant et on en fait profiter le public venu en nombre. Tout est alors possible. On rêve de plages, de canoés et les petits bimeurs sont déjà en train de nager sur le bleu du square… ou bien serait-ce le bleu du ciel ? On ne sait plus très bien dans quel sens regarder tellement le paysage a changé… Une mouette revient sans cesse, on entend son cri par-dessus le bruit des travaux et celui de la guerre imaginaire, cachée derrière les pierres - presque des tranchées - desquelles on disparaît… et on réapparaît ! On dérive au fil de l’eau sur l’étendue du "city stade", on se reflète dans son bitume, on s’y penche pour se désaltérer. Et qui a dit que le foot était un sport de garçons ? C’est en meute qu’on joue ici ! petits et plus grands, filles et garçons, on habite l’espace tout entier et on se répond d’un bout à l’autre du square en riant, préparant secrètement une invasion d’araignées imaginaires, qui, une fois le spectacle terminé, grouille encore de milles histoires à inventer… Pas de doute… Bim est bien dans le square ! Prochain rendez-vous : en avril pour l’exposition photo in situ ! Et d’ici là, à présent que chaque élément du décor est devenu matière à rêver, les habitants de la Cerisaie n’auront de cesse de réinventer jour après jour leur quartier. t v a a n

© Collectif bim - 2025

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